Mon blog ne répertorie pas les liens des sites/blogs que je visite, et pourtant, quand je peux, j’en visite quelques uns.
« A la cour des tsars » sans y être jamais allée grâce à ce ravissant modèle empreint de finesse et de délicatesse qui est une occasion de rendre honneur à « Mon aiguille », le blog de Véronique, que je visite régulièrement depuis un certain temps déjà.

Un ouvrage en quasi totalité cousu-main que j’ai beaucoup aimé confectionner.

En toute circonstance, on peut apprendre quelque chose de nouveau ; et grâce au livre de stumpwork de Sachiko Morimoto (et bien oui, encore ce livre !), j’ai appris l’existence d’une plante, le phytolaque d’Amérique. Un nom très particulier pour une plante qui est finalement bien jolie ! Jolie, mais attention toxique ! Pour en savoir davantage, c’est ici.

Un motif sobre et très agréable à broder qui m’a permis d’apprendre un nouveau point de broderie, le point de noeud allemand, un point intéressant pour donner du relief.

Si le motif est de Sachiko Morimoto, le modèle de la pochette est une réalisation personnelle.

Une très grande envie de coudre à la machine avec aussi le désir d’obtenir un résultat assez rapide et voilà que quelques heures plus tard, j’ai obtenu un petit coussin parfumé de lavande.

C’était l’occasion d’utiliser un morceau de toile ancienne sur laquelle j’ai brodé au point de croix mes initiales en rouge. Une première sur ce genre de toile ! Un peu de peine pour ôter le tire-fil (si quelqu’un a une astuce, merci d’avance !), mais à refaire sans aucun doute !

Et quant à la petite bouffette, étant introuvable en mercerie, je l’ai confectionnée avec du fil spécial à broder.

Il s’agit-là d’un modèle du livre : « Galons, rubans et linge ancien » de Sylvie Castellano. Un très beau livre avec des modèles très bien expliqués.

Je profite de la publication de cet article pour remercier tous les visiteurs de ce blog ainsi que les personnes qui se sont récemment inscrites à sa Newsletter.

Il y a quelques semaines, je suis allée à la première brocante de l’année et par chance, je suis tombée nez à nez avec un stand d’objets de broderie et de couture !

J’y ai donc acheté une très belle travailleuse datant des années 1940 d’après la brocanteuse.

Et la voici après y avoir passé quelques heures avec le précieux livre de Véronique Maillard, « Ma petite mercerie », sous la main :

La voici à l’origine lorsque je l’ai achetée. Le bois était en parfait état, seul le sac était abîmé :

Je suis ravie de pouvoir lui offrir une seconde vie !

Dorénavant, mes tricots ne logeront plus dans un petit sac en plastique !

Maintenant, je veux me lancer dans la réfection d’une petite bourse du bal des débutantes. C’est un projet qui me tient beaucoup à coeur. Lorsque je l’ai vue, j’ai tout de suite été charmée par le fermoir très original. Et si celui-ci est en parfait état, le sac, lui, est en piteux état, il part en lambeaux ! Je l’ai un peu rafistolé pour la photo.

J’ai déjà beaucoup réfléchi au montage, ce sont des petits points de feston qui entourent chaque anneau et la partie supérieure est constituée de brides crochetées. Il ne reste plus qu’à me lancer ! A suivre…

J’ai fait la confection de tous nos rideaux au printemps dernier, à la fin de ma troisième grossesse.

Je me revois encore, tantôt accroupie, tantôt agenouillée, à même le sol, avec mon ventre plus que proéminent, mon mètre de couture autour du cou, suant, pestant !!

Plus d’une fois, j’ai voulu en finir et renoncer, mais finalement, ma persévérance a eu gain de cause ! Et aujourd’hui, ils sont là, élégamment suspendus à nos fenêtres avec des embrasses de roses que j’ai cousues tout dernièrement (il était temps !) Et bien que dépourvues d’épines, mes p’tits n’y ont encore jamais touché !!

Le patron des roses est issu du  fameux livre : « La maison de Tilda ». Et les embrasses, elles, sont une petite confection-maison toute simple.